Elena Denger

Avant Poudlard, elle était moldu:

Spoiler:

Une nouvelle vie commence à Poudlard, onze ans:

Spoiler:

Aujourd'hui vingt ans dans les pattes:

Elena a beaucoup changé comparé à quand elle n'avait qu'onze ans. Elle reste très sérieuse quand il s'agit de ses recherches ou toutes autres manipulations intéressantes et importantes mais, la sorcière apprécie aussi faire la fête et s'amuser. Surtout s'amuser.

De nature joyeuse, elle essaie toujours de remonter le moral des personnes qui sont dans le besoin malgré le fait qu'intérieurement elle ait beaucoup de mal à gérer ses problèmes.

Après la mort de son père, la Serdaigle a préféré compartimenter ses émotions et oublier son passé en tant que moldu que d'affronter la réalité. Elle a d'ailleurs trouvé plus simple d'accuser on père de la laisser seule plutôt que d'aller à son enterrement. Bien que cela puisse paraitre horrible, elle préférerait perdre ma mémoire sur ses parents et n'avoir que la magie qu'être obliger de vivre avec ce poids sur le cœur.

En plus des changements survenues sur son caractère, Elena a choisi de laisser s'exprimer son côté fille et apprécie désormais les robes. Elle reste tout de même bien plus à l'aise dans des jeans. Son côté garçon manqué à laisser des traces surtout pour ce qui est du choix de vêtement pratique et confortable.

Elena a grandi dans le sud de la France avec son père qui ne possède aucune aptitude à la magie, c'était un moldu. Sa mère est décédée quand Elena avait un an. Elle est morte lors d'un attentat quand elle était à l'étranger pour une mission d'ordre humanitaire. Elle ne possède pas d'oncle ou de tante ses parents étant enfant unique. Ses grands-parents ne sont plus de ce monde non plus, mort de cause naturelle.

Son père est entraîneur dans les camps des forces armées, il a toujours voulu voir Elena en parfaite forme physique. Elle n'a jamais eu à aller dans des clubs sportifs, de par son père, elle possédait une dérogation pour pratiquer le sport au camp où ils habitaient. Elle préférait lire mais, militaire jusqu'au bout des ongles, il voulait toujours la pousser au bout de ses limites. Ça ne lui plaisait pas mais n'ayant pas le choix, elle faisait avec pour lui faire plaisir.

Quand elle commença à aller à l'école, sa maîtresse qui était aussi une amie de son père, vu de suite qu'elle possédait de bonnes facultés d'apprentissage et qu'elle serait rapidement en avance sur ses camarades. Elle lui donnait souvent des devoirs en plus pour qu'elle soit toujours meilleure en tout et pour tout. La jeune fille était contente, heureuse.

Aimant la justice, Elena prenait toujours la défense des plus faibles même si elle se prenait une raclée. Tous les enfants de l'école, mis à part les caïds l'appréciaient et voulaient l'avoir de leur côté (une amie bouclier humain c'est cool).

Elle n'a jamais été très attirée par la mode et préfère avoir des choses simples et facilement remplaçable. Depuis qu'elle est petite, son père ne lui a jamais fait porter de robe. Elle s'était habituée à un style plus militaire, débardeur, pantalon dans le style treillis ou jeans. Un garçon dans le corps d'une fillette.

Quand elle eut neuf ans, son père décida de déménager en Angleterre, les souvenirs de sa défunte épouse étaient trop durs à supporter.. Enfin c'était ce que pensait Elena, car comme à son habitude, son père n'y avait pas donné plus d'information. Grâce à ses relations il retrouva le même emploi qu'en France, Entraîneur dans un camp militaire. La jeune fille quant à elle se retrouva dans une école avec option français pour réussir plus facilement à faire la transition.

Le jour où elle reçut une lettre pour lui dire qu'elle a été admise à l'école de sorcellerie Poudlard elle crut à une mauvaise blague de son père. Quand elle lui montra la lettre, il n'y crut pas non plus, il resta stoïque quelques minutes même, ce n'était pas le genre à croire aux contes de bonnes fées. Cependant, plus tard, un membre de l'équipe pédagogique de Pourdlard vint leur rendre visite pour leur expliquer. Après une longue discussion pour comprendre où aller acheter les affaires et comment se rendre au train, Elena accepta d'y croire. Son père accepta son entrée à l'école sans cependant vraiment y croire. Ce n'est qu'en ce rendant au chemin de traverse pour aider sa fille qu'il compris que tout cela était réel.

Blah blah blah

Blah blah blah

♣ PV ♣

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♣ Commande & achat ♣

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♣ Groupe & Animation ♣

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♣ Libre ♣

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♣ Unique ♣

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Avant le cours :

Le soleil était chaud, le vent caressait l'herbe fleurie faisant remonté le parfum des fleurs dans les airs. Aucun arbre à l'horizon, aucune maison, juste un enfant. Il devait avoir à peux prêt deux ans vu la taille, de beau yeux bleu gris et des cheveux bruns, un petit sourire joyeux , un regard innocent. Il s'amusait dans l'herbe, lançant des regards dans la direction d'Elena.
Elle était une femme dans son rêve et observait le petit de loin, assise sur le sol, en contact direct avec la terre. Le petit la regardait et lui souriait, l'appelait mais, elle ne pouvait rien faire aucune action lui était possible. Elle essayait à chaque fois de bouger, de courir pour le rejoindre s'amuser avec lui mais, elle n'y arrivait pas. Quelques choses l'empêcher de se lever et impossible de savoir quoi. Aucune attache à ses chevilles ou poignets, pas de sable mouvant ou autres choses qui pourraient lui entraver les pieds. Rien et pourtant, l'enfant restait trop loin d'atteinte pour qu'elle puisse être à ses côtés.
Le petit la regarda une fois encore mais, son expression avait changé ce n'était pas de la joie qui s'affichait sur ses lèvres mais de la peine, le vent souffla une dernière fois plus fort que d'habitude, le froid pris le dessus sur le chaud, le décors disparut et l'enfant s'éparpilla dans l'air comme s'il n'avait été que cendre. Et Elena se réveillait toujours à ce moment-là.

Durant le cours :

Sentant son corps s'alourdir elle ouvrit ses yeux et ce réveilla de nouveau, face à l'enfant aux yeux bleu. Essayant de bouger elle remarqua de nouveau que ses pieds étaient figés, elle pouvait bouger ses bras, son buste mais, ne pouvais plus parler. Elle pouvait sentir, voir mais, ne pouvais mettre de nom sur ce qu'elle sentait ou pouvait voir. Souhaitant défier sa propre conscience et son propre esprit, elle ferma les yeux pour ne plus voir ce que le rêve l'obligeait à subir. Elle posa ses mains sur ses oreilles pour ne plus entendre. C'est alors que deux mains froides lui agrippèrent ses poignets l'obligeant a écouté.

- Regarde moi !

- Ouvre les yeux, regarde-moi.

Elle refusa, sentant ses poignets brûler à cause des mains qui maintenaient ses oreilles découverte pour entendre l'enfant. Il hurlait lui ordonnant d'ouvrir les yeux sans relâche. Mais elle ne voulait pas, elle ne pouvait pas voir et observer quelqu'un en sachant qu'elle ne pourrait rien faire pour ou contre. Elle ne savait rien et n'était même pas capable de dire si c'était un garçon ou une fille ou même, si la personne lui voulait du bien ou du mal...

Siobhan en cours :

Réveille-toi Elena... La jeune fille ouvrit ses yeux, laissant derrière elle un cri qu'elle aurait aimé comprendre, un aboiement ?



Durant le cours, avec la potion "Sims" Vous avez un rêve modulable :

C'était reparti pour un tour, la jeune fille comme à son habitude rouvrît ses yeux sur la plaine, assise par terre l'enfant toujours en face d'elle. Regardant le sol, elle leva une jambe et fût heureuse de voir que la potion faisait bien effet. Se mettant à genoux, elle entreprit de se redresser pour ainsi tenir debout et tout en regardant l'enfant, elle essaya d'y adresser la parole espérant que la potion n'avait pas de limite.

- Qui es-tu ?

- Tu le sais.

L'enfant s'approcha d'elle, tendant une de ses mains vers la jeune fille qui posa la sienne contre. Elle remarqua que ses doigts n'étaient pas ce qu'elle avait l'habitude de voir. L'enfant quant à lui avait une main en parfaite harmonie avec sa taille.

- Tu es moi, ou plutôt tu es mon passé..

- Et toi mon futur.

Alors qu'elle s'apprêtait à lui demander la raison du rêve en question, un aboiement survint, le même qui avait fait interruption quand elle s'était réveillée dans le cours. Regardant autour d'elle, Elena aperçut au loin le fameux canidé, non ce n'était pas un chien mais, un loup qui, la gueule ouverte, les crocs en avant fonçait sur eux. Prise de panique, elle tira sur la main de l'enfant et tout en essayant de le couvrir de ses bras ferma les yeux.

Elle ne le vit pas mais, le chien disparut, tous comme l'ensemble du décors. Quand la Serdaigle eut le courage de regarder autour d'elle, l'enfant c'était éloigné et la regardait. Il faisait noir, pas de sol, pas de mur juste du noir comme le néant. Approchant de l'enfant, elle regarda le ciel et aperçu des étoiles.

- Qu'est-ce donc que tout cela ?

- C'est toi.

- Ce n'est pas très gaie ou amusant...

- Ce n'est pas encore fini. Regarde moi et tu verras.

Plongeant ses yeux dans ceux de l'enfant, elle remarqua alors des reflets de couleurs.

Des bruissements d'ailes fluide et léger survinrent autour d'elle, caressant ses joues, frôlant ses cheveux, les faisant voler... L'enfant fermant ses yeux, la jeune fille releva la tête une douce mélodie accompagna les divers sons émis près de ses oreilles, de petites taches de couleurs avaient l'air de décorer le ciel à la place des étoiles, camouflant la lune... Un arbre au loin d'une couleur bleuâtre semblait recouvert d'écaille en mouvement... S'approchant, elle tendit une main paume vers le haut et un insecte s'y posa, un majestueux papillon turquoise qui ouvrant ses ailes se fondit dans la main de la Serdaigle pour ne laisser qu'un semblant de tatouage. Soufflant sur sa main, le dessin disparut et les papillons de l'arbre firent tout autant, tournant autour d'elle comme pour l'inciter à danser. Laissant libre cours à son imagination, elle fit quelques pas de valse et sentit les papillons former un corps humain pour danser avec elle puis, s'arrêtant elle tendit ses deux mains vers le ciel, attendant qu'un papillon s'y pose, les autres lépidoptères se dispersant. Un bruissement d'aile plus présent se fit ressentir derrière elle, se retournant, elle observa les multiples papillons ne faire plus qu'un. De belles ailes de papillon de nuit turquoise avec des pointes de framboise sur les contours s'élevaient dans le ciel, battant lentement comme si elles attendaient une invitation.

- Ce sont mes ailes ?!

Alors que le papillon se déposa sur son dos, des bruits extérieurs à son rêve la sortir de son sommeil... La potion ne faisait plus effet au mauvais moment, justement quand ça devenait intéressant. Les papillons disparurent sous un soupire de tristesse, l'enfant déjà très loin... Ou très proche dans son cœur.